vendredi 29 mai 2020

jeudi 28 mai 2020

Biomimétisme (primitive evolution)







Par A. Mehinto

Voici mon super héros avec une armure totalement issu du biomimétisme (je l'ai  présenté sous forme de projet avec croquis, légendes...).

lundi 25 mai 2020

Déconfinement (précaution)

Précaution par A. Poteau
Mon travail intitulé "précaution" est un assemblage de photo de miroir. Les fils jaunes symbolisent la précaution et le reflet de ces miroir, la liberté.






Déconfinement (plusieurs sentiments)

Par N. Seuam
Je ressentais plusieurs choses, de manière parfois confuse alors j’ai montré différents sentiments à travers mon dessin (infographie).




Déconfinement (passage du temps)

Par V. De Boyer d'Éguilles
La forêt dans la nuit représente le passage du temps.



mercredi 20 mai 2020

Je suis une fleur (1) Projet BD 2019-20

Durant cette année les élèves de seconde en Arts Plastiques ont travaillé avec l'auteure de bande-dessinée et illustratrice Fanny Michaëlis autour du thème de la métamorphose. Le confinement est passé par là et a interrompu ce projet qui s'annonçait bien mais qui n'était qu'à ses commencements. Quelques élèves, qui avaient emporté leur travail à la maison, ont pu avancer sur leurs planches. Elles seront postées ici au fur et à mesure que je les récupère. Ceci afin de témoigner du travail effectué en dépit de ces circonstances adverses.


E. Palagonia




   

lundi 18 mai 2020

Biomimétisme (appartements corraliens)

M. Leroy


Étude de projet d’appartements avec une grande surface vitrée. Inspiration : récif corallien.





vendredi 15 mai 2020

Arbre printanier (concours David Hockney)

Par A. Bert


Ce travail est une réponse d'une élève du lycée  à un concours organisé par  le Théâtre du Châtelet, le Centre Pompidou et France Inter, qui lancent sur leurs réseaux sociaux une invitation aux artistes amateurs de tous âges, confinés dans tout le pays, à réaliser une œuvre à l’instar de David Hockney, autour du Printemps et du message d’espoir qu’il véhicule.


Le 16 avril dernier, David Hockney offrait au public français, en partenariat avec le Théâtre du Châtelet et France Inter, dix œuvres inédites décrivant l’arrivée du Printemps dans la campagne normande où il séjourne désormais.

Pas de limite d’âge, pas de prérequis, chacun est invité à se glisser dans les habits du peintre britannique et à s’inspirer de son arbre de printemps pour en proposer sa propre interprétation et la partager sur les réseaux sociaux sous le hashtag #HockneyPrintemps et/ou à l’envoyer à l’adresse mail :

Cet appel à contributions ouvert à tous
 prendra fin le 21 juin, premier jour de l’été.

Un jury, formé par les trois institutions partenaires, choisira 10 œuvres parmi celles partagées ou envoyées. Celles-ci feront l’objet d’une exposition à la réouverture et seront présentées en ligne par les partenaires.

En cette période incertaine pour les citoyens et le monde de la culture, France Inter, le Centre Pompidou et le Théâtre du Châtelet souhaitent plus que jamais affirmer leur soutien à la création et permettre à chacun d’accéder à la culture et de développer sa propre expression artistique.

VOUS ÊTES TOUS INVITÉS À Y PARTICIPER !

POUR DÉCOUVRIR LE TRAVAIL DE DAVID HOCKNEY :







jeudi 14 mai 2020

Le voyage temporel

E.Palagonia, Le voyage temporel. 

Commentaire de l'auteure :   " J'ai voulu mettre en avant un personnage apparaissant comme bloqué entre plusieurs fractures temporelles rétrécissant petit à petit. Pour cela, j'ai décidé de faire ressortir l'univers du Steampunk à travers le voyage temporel. "


Travail en cours.

Travail préparatoire. 

mercredi 13 mai 2020

Masque

Par H.Vialade

Par H.Vialade

Réalisation en réponse à cette incitation donnée pendant les vacances de printemps :  

Les formes, les lignes, les couleurs, les volumes, les textures sont en vacances et sont complétement libres ! Qu’est-ce que cela donne ?


lundi 11 mai 2020

Langage machine



 Vidéo de Ponny Gouttegata.

Cette vidéo est une réponse à une incitation sur l'alphabet imaginaire.

Voici le commentaire qu'en fait son auteur :

Ce langage emprunte sa structure au premier syllabaire japonais, l’hiragana. Chacune des syllabes interprétées est traduite dans un langage humainement compréhensible, une sorte de traduction
latine proche du Rōmaji japonais. La vidéo se présente sous forme de cartons noirs annonçant les différentes parties et montrant une traduction des sons entendus.

L’hiragana est constitué de différents signes correspondant à une syllabe, il peut s’agir d’une
voyelle seule ou bien d’une consonne suivie d’une voyelle. Ici, ce syllabaire se compose uniquement de consonnes suivies de voyelles, par ailleurs, aucun signe n’est associé aux syllabes, les machines ignorant l’écriture bien moins efficace qu’un transfert de données.  


Cette langue possède certaines particularités comme des points qui expriment le ton d’une phrase, un
ajout à la langue française qui a été proposé par Hervé Bazin en 1966. 

Ces points démontrent les états d’âme et les questionnements des machines et servent le propos principal de l’oeuvre : supposer l’Humanité, la conscience et l’intelligence autonome des machines.

 
A noter qu’il n’existe pas de point d’interrogation, les machines ayant accès à toutes les informations, elles n’ont pas à se poser de questions. Leurs seules interrogations sont sur le ressenti, les émotions et leurs similitudes avec les humains. Par la suite, sont proposés plusieurs exemples de phrases, chacun des exemples amène le spectateur à se poser des questions sur les questionnements que portent les machines. 


Ce premier exemple pose la question de l’altérité et du ressentiment des machines envers autrui. Qui est cet autrui, est ce l’humain ou d’autres machines ? Des groupes se forment-ils ? Si oui, sur quels critères sociaux ? Les machines peuvent-elles avoir des intentions belliqueuses ? 

D’autres exemples comme « Nous sommes connectés. » ou « Je t’aime » posent la question de la conscience machine, de la capacité des machines à communiquer sur leurs sentiments, le dernier
exemple « Tu es conscient » s’accompagne d’un point anxieux amenant même à imaginer les machines réfléchir les dangers de leur condition. 

En cela cette oeuvre dans sa démarche s’approche du travail de Erik Desmazières sur l’alphabet imaginaire ou de Tolkien avec le tengwar ou de Stephen Crane avec l’aurebesh de Star Wars. Tous ces alphabets et ces langues ont pour but de donner de la crédibilité à un univers. Pour Desmazières cela permet une immersion en plus dans la Bibliothèque de Babel et amène un questionnement sur la langue antérieure, commune à l’Humanité qui est citée dans la Bible. Pour Tolkien ou Crane c’est un moyen de suspendre l’incrédulité du spectateur, de forger une diégèse solide. Ici, l’objectif est double, on est plongé dans un univers où l’hypothèse d’une conscience artificielle offerte aux machines est validée. Et ce langage offre un questionnement sur les états d’âme des machines, dans une démarche assez proche de Isaac Asimov avec L’Homme Bicentenaire ou Le Robot qui rêvait qui nous questionne sur la possibilité d’un art robotique ou d’un subconscient.